Avec les trois premiers livres, qui sont un résumé de ma pensée médicale, je pensais avoir clarifié ma pensée suffisamment pour pouvoir arrêter cette diarrhée scripturale ... On m’a dit que c’était peine perdue. Et c’est vrai, j’aime écrire, très égoïste en fait.
Pour l’heure, il me reste deux idées à explorer :
– Les anecdotes d’une vie réinterprétées à ma sauce ... Avec en point de mire les livres de James Herriot ... Un peu oubliés maintenant. Et sûrement sans l’humour inénarrable de ce vétérinaire anglais.
– Le rapport aux animaux et aux plantes.
Et bien, c’est parti. Ce livre, j’ai envie de le présenter sous formes de textes, de nouvelles et de chaque fois les poser sur le site et d’attendre vos commentaires. Un peu interactif si possible. Peut être n’ira t’il pas plus loin, mais il aura au moins le mérite de m’avoir procuré du plaisir à l’écrire ... Et peut être à vous en le lisant.
Il s’appelle "la vie kaléidoscope", comme ces images de parties d’une même image juxtaposées qui finissent par faire un mandala bigarré. Ainsi va la vie, professionnelle, personnelle, émotionnelle, des morceaux que l’on ne peut séparer de fait, entremêlés, un fouillis qui peu à peu s’organise, chaque pan se nourrissant du suivant.
Les nouveaux articles (parfois simplement d’anciens articles revisités) apparaîtront au fur et à mesure de manière tout à fait aléatoire ...
Version papier : Parue le 21 Mars 2025 ! |
---|
![]() |
(Paru le 21 Mars 2025 !)
– 001- Introduction à "La vie kaléidoscope"
– 001 inter - La capucine ...
– 002- Histoire sucrée.
– 002 inter- Bourrache...
– 003- Fernand ...
– 003 inter- Achillée Millefeuille
– 004- Viande ou pas viande ? Lait ou pas lait ? L’ostéopathie de groupe ?
– 004 inter- La Reine des prés
– 005- L’Ostéopathie à Venir ...
– 005 inter- L’ortie
– 006- En avant l’ostéopathie !
– 006 inter- La sauge et le chevreuil ...
– 007- Bilan Carbone et Social de l’ostéopathie ...
– 007 inter- Géranium !
– 008- Mon amie la rose ...
– 008 inter - La valériane.
– 009- Jean...
– 009 inter- Pimprenelle
– 010- Création.
– 010 inter Le Plantain Lancéolé
– 011- Avoir un but ? Certes, mais lequel ?
– 011 inter- Roses.
– 012- Tel est Thon : en Boîte.
– 012 inter- La Carotte ...
– 013- L’Ami.
– 013 inter- La Mauve
– 014- Quand la peur ...
– 014 inter- fuchsias ...
– 015- P’tite Lionne ...
(A paraître Automne 2025 ???)
– 015 inter- Acacia
– 016- Ours, Qui es tu ?
– 016 inter- Acanthe
– 017- Que disent les chevaux de ce que nous leur demandons ?
– 017 inter Abricotier ...
– 018- J’y vas t’y, j’y vas t’y pas ?
– 018 inter Ragouminier ...
– 019- Cueillette ...
– 020- Du Vague à L’âme ...
– 020- Un Immense Pas pour moi ...
– 021- De la petite chamelle au yorkshire ...
– 022- Quoi Cueillir ? Où ? Comment ?
– 023- Fin de Jour.
– 024- Le jour où ...
– 025- Lever de Jour.
– 026- Un avion et une vertèbre ...
– 027- Cueillette d’hiver ?
– 028- Mains
– Oh ragouminier
– Du Canada ou de Chine
– Offre ta rouge cerise !
– Fleur D’abricot,
– En rose ravit tes yeux.
– Et ... Dépose un baiser.
– Petit nid violet
– Pour blanc pétale papillon
– Dardé vers le ciel
– Grappe d’acacia blanche,
– Vertige d’odeur enivrant.
– D’épines se défend
On aurait tendance à penser que, l’hiver, la cueillette de plantes bonnes à manger, c’est mort !
Après plusieurs années de cueillette hivernale, je puis affirmer que dans notre paradis :
Dans le Couserans [1], une région de piémont montagneux pyrénéen [2], nous sommes plus au sud que Nice et malgré que nous puissions avoir de bonnes gelées à -6/-8 °C chaque hiver, le temps est en général assez clément.
Car en vrai ce qui empêche de cueillir ce sont la neige épaisse et les jours qui ne (…)
De tous le poèmes jamais écrits, celui-là tient une place particulière. Il a trente ans maintenant je pense, mais je le vis encore tous les jours dans les souffrances humaines ou animales qui vous m’offrez à dénouer avec votre aide. Merci, c’est de la vie que vous m’apportez. A pleines mains, Plonger sur la peau Qui repose là, inquiète, Tendue de vie mal vécue. A mains étales, Surfer sur la vague, Ronde force immobile, Qui remue le tréfonds de l’âme. A chaudes mains, Apercevoir la lumière (…)
– Multiples lanternes
– Rouge Fuchsias le ciel reflète
– Cloches pendantes.
– Bonbon de Mauve suave
– Fleur violette et fruit fromage
– Inonde le jardin.
Un avion et une vertèbre ... S’aimaient d’amour tendre, mais ils ne savaient pas qu’ils étaient semblables !
Au fil des textes, s’insinue l’idée que la vie est capable de mettre en place un puzzle qui finit par faire un tableau qui nous pousse vers nous mêmes et ce que nous aimons, un portrait d’âme, sans que nous en soyons conscient. Ce n’est pas ce texte-ci qui va infléchir cette idée...
J’avais donné mes premiers cours d’ostéopathie cette année là. Et parmi les élèves, il y avait Jean (…)
– Ce matin, en naissant,
– Le vent du soleil a balayé les cimes,
– Il a remplacé le linceul de neige
– Par le pourpre et l’ébène
– D’un manteau de rayons.
– Il a bousculé le sommeil des étoiles,
– Et, de sa chaude parure mordorée
– A recouvert les langueurs de la nuit
– D’un voile de beauté indicible.
– Ce matin, en naissant,
– La chaude caresse du soleil
– A bouleversé le parfum de ta peau
– De mille émotions palpitantes,
– Allumant chaque parcelle
– De tes désirs
– Pour (…)
1998. L’ostéopathie maintenant intégrée dans ma pratique, je naviguais de la médecine classique à l’ostéopathie comme un esturgeon de la mer à l’eau douce. A chaque consultation, je faisais un diagnostic tel que l’université me l’avait appris et un autre avec mes mains et l’ostéopathie. Alors s’engageait une réflexion pour savoir à chaque fois ce qui serait le plus rapide, le plus efficace, le moins cher. Souvent l’ostéopathie gagnait. Régulièrement je mélangeais les deux traitements. Et la (…)
– La Carotte velue,
– Senteur d’ombelle piquetée
– Noir et blanc bourdon.
– Quand le crépuscule se dépose,
– Que les émotions cristallisées,
– Telles le nuage ventru explosent
– En fines perles Irisées
– Qui te piquent le visage,
– Alors, relève la tête,
– Bois et savoure sans frémir.
– Alors, retourne la tête, Vers l’aurore à venir
– Qui t’ouvre le passage
– Au-delà des apparences,
– L’oiseau survolant la rosée
– Au-delà des transparences
– vers le soleil qui renait
– Et incendie le paysage.
Je viens d’apprendre, je ne sais pas si c’est vrai, qu’au jour d’aujourd’hui, seuls 0,2% des français sont vraiment ruraux quand l’Insee nous annonce une proportion de 18% vivant dans une commune rurale et puis on trouve plein d’autres chiffres différents. Bon, comme d’habitude les chiffres des statistiques ne sont pas du tout une valeur sure ... Pourtant, il est vrai que dans notre commune, ceux qui vivent dans le village n’ont souvent pas grand chose à voir avec la ruralité outre le fait (…)
– Éclat vif des Roses
– Pétales enivrants d’odeurs
– Ronce mélancolique.
Je n’ai jamais su choisir entre nomade et paysan. J’adore ma terre, j’adore voyager. J’adore la logique linéaire, j’adore vagabonder en esprit et transgresser. Je suis comme cette vieille pièce chinoise qui pour être ronde possède un carré évidé au milieu. Le carré est le champ de riz et symbolise le paysan et le tour de la pièce, le tour de la terre et représente le nomade . Deux façons profondément différentes d’être au monde. Et vous, qu’êtes vous ? Davantage nomade ? Davantage paysan ? (…)
– Orteil de Plantain
– Lancéoles de feuilles côtelées
– Fruit brun champignon.
Bousculer son environnement pour suivre un cours d’ostéopathie est une bonne chose. Ne pas s’enfuir au premier cours est un bon début. Aller jusqu’au bout du cursus c’est cool.
Mais ...
Après, il faut pratiquer...
Et là, cela peut être une autre paire de manches, car il faut s’affranchir de l’autorité. Autorité de pouvoir, autorité de savoir. Toutes mes études, on m’avait dit que les ostéopathes et autres rebouteux c’était de la M... Combien de "cela n’est pas prouvé" ai je entendu au (…)
– Vert bleu Pimprenelle
– Bouquet d’épice dentelé
– Échelle sur sa tige.
– Regarder dans le vague
– Pour y apercevoir le ballet
– Scintillant de poussières d’étoiles.
– Petites étincelles de beauté intrépides
– Qui parcourent l’azur palpitant.
– Regarder le sol respirer
– Fibrillation lente du cœur de la terre,
– Peau de tambour qui se gondole
– Et ensorcelle celui qui l’écoute.
– Regarder l’éclair bleu
– Qui épouse ton corps
– Y palper le gonflement de la vie.
– Prendre conscience de l’énergie,
– De la mémoire intemporelle qui s’écoule.
– Chant (…)
Le monde animal, humain compris, a été une grande préoccupation durant ma vie et en cela j’ai à peine effleuré un des règnes des plus présent sur terre : le règne végétal. Et cela, malgré que j’ai passé des heures et des heures à me promener dans la forêt de mon enfance, la forêt de la Braconne en Charente.
En tant que soignant parcourant les chemins de traverse, il me resterait donc à parler de phytothérapie.
Mais ce n’est pas du tout par ce biais que j’aborde les végétaux. J’avais (…)
– La calme Valériane
– Couronnée de ses fruits plumes
– Dort dans le fossé.
Octobre 1991. Petite pause café dans l’arrière salle du cabinet vétérinaire Bordelais où je travaillais comme vétérinaire mixte . Je jette un œil aux annonces de la revue hebdomadaire de la profession et je tombe sur celle d’une école qui propose un cours d’ostéopathie qui commencera dans trois mois.
Ça n’a fait qu’un tour dans ma tête. Pourtant, passage rapide par l’image du paternel souvent souffrant des lombaires et qui se faisait remettre avec bonheur les vertèbres par un ostéopathe (…)
Une postface, c’est la clôture d’un livre, une fois parcouru ses lignes, qu’en reste ‘il ? Je suis honoré que Peggy ait pensé à moi pour cet acte. Ce livre donne la parole à l’Autre et lui demande ce qu’il pense de ce qu’on lui demande de faire. Cela s’appelle dialoguer et obtenir si possible un consentement. Cela suppose que l’Autre, ici un animal de l’espèce cheval, est notre égal. Sinon pour quoi dialoguer et chercher l’adhésion ? Inutile. Alors merci Peggy d’ouvrir le débat de cette (…)
– Geranium violet,
– Sauvage, caché au jardin
– Pour l’abeille ivre.
– La Sauge vert olive
– Par son odeur change les miasmes
– En nuages dorés
– Chevreuil enhardi
– Des chevaux calmes se rapproche
– Et leur herbe partage
Conte écrit en début d’année 2018, on part d’un ours boiteux pour arriver à s’interroger sur une société malade.
J’ai tué un Lion...
Bin oui, je l’ai tué ... Oh, je ne suis pas allé en Tanzanie, je n’ai pas payé 15 000 dollars pour le trophée, je n’ai pas posé pour la photo avec le pied campé sur la bête. Splendide animal que l’on aurait poussé devant mon fusil de "chasseur" idiot heureux.
C’était il y a longtemps, jeune vétérinaire ... Pendant mon année guadeloupéenne.
Les cirques parfois, l’hiver, font la tournée des îles. Celui là s’était arrêté quelques semaines à Point à Pitre et m’a donné (…)
La piquante Ortie
Une sorcière inégalée
a la barbe aiguë
– Quand la peur en ton rein, Froide et dure s’insinue
– Et, d’un cocon de glace
– Recouvre ton corps transi... ;
– Quand la petite flamme
– Qui permettrait d’allumer
– Le brasier de ton cœur
– Semble inaccessible.
– D’où viendra l’étincelle ?
– Qui sonnera la débâcle
– De cette vie statufiée.
– Du dehors ou du dedans ?
– Plus sûrement du dedans,
– Du cœur même de cette peur,
– Qui héberge en son sein
– Cette petite fleur immobile.
– Encore plus immobile Que la peur elle-même,
– Dame la Reine des prés
– De ses flocons blancs parsème
– Le corps en douleur
D’aussi loin que je me souvienne, il est là à côté de moi. Silencieux, invisible, lointain, mais là ...
La première fois que j’ai eu conscience d’avoir entendu parler de lui, je devais être en primaire et, je venais d’entendre dire qu’un garçon avait eu un accident de vélo et s’était coupé la langue. Déjà, ce jour-là, le futur soignant vécut dans sa chair l’énonciation du mal. Ce n’est qu’avec le temps que j’arriverai à mettre le curseur de l’empathie beaucoup plus haut pour pouvoir (…)
– L’Achillée millefeuille
– Sapin tendu vers le ciel
– Sa dentelle soulage.
Non, je ne suis pas végan et pense ( à tort ou à raison ?) que protéines et graisses animales sont bonnes pour la santé. De même que je crois que la question viande ou pas viande n’est pas le problème, mais, que l’on parle des avocats ou du porc, la vraie question est comment cela es t’il fait ? Comment cela arrive t’il dans mon assiette ?
Alors me voilà devant mon repas du soir avec une superbe salade sauvage dont je me suis fait une spécialité (). On ne peut pas faire plus naturel et (…)
– La Bourrache d’été
– Bulle bleue dense attend l’automne
– Dans un vert profond
Comme déjà écrit, depuis l’âge de 4 ans, je voulais être vétérinaire dans les Pyrénées. Fils d’ouvriers, j’avais transformé en hargne les affirmations de tous ces gens qui disaient à juste titre que les enfants d’ouvriers font de moins bonnes études que les autres. Certes, j’aurais pu être découragé par ces phrases assénées, martelées, à coup de statistiques et de certitudes, mais, avec des parents géniaux qui vous poussent avec constance et opiniâtreté vers vos rêves, on trace. Avec un (…)
Entre chaque "nouvelle" de "la vie kaléidoscope, une photo, un instant de beauté, trois lignes façon Haïku.
– Orange Capucine
– Exhale sa saveur poivrée
– Gaïa remercie
Et, si les mots en vibrant pouvaient créer un monde...
Ce serait le mot montagne,
Pour la sueur et la volonté qu’elle demande pour sa conquête.
Ou bien le mot mer,
Pour l’insondable de l’horizon et la folie qu’elle exige pour la parcourir.
Et encore le mot maison,
Pour la joie, la misère du quotidien, la constance dans lesquels la vie nous entraîne.
Et, si les instants immobiles où le rêve s’installe créaient la lumière...
Ce serait le vol hésitant du papillon, Ou bien la (…)
Je vous ai parlé de Fernand, le grand père maternel, paysan à cheval sur la ligne de démarcation et qui s’était mis en tête de faire passeur …
Mais il y a mon autre grand père : Jean … Lui aussi avait une ferme qui enjambait la ligne de démarcation à quelques kilomètres de Fernand, à Taponnat. Je ne crois pas qu’il ait fait passeur, il se trouvait bien trop près du poste de passage. Et, à son corps défendant, il avait du "prêter" une de ses granges à ces messieurs qui, à ce qu’il m’est (…)
Magnifiques, superbes, sublimes, ce sont les mots qui me viennent dans ce soleil d’automne en observant ces deux roses jumelles sur ce rosier du jardin. Fuchsia foncé, rouge velours, un énorme amoncellement de pétales ébouriffés, un brouillon touffu d’une élégance rare.
Mon cœur s’emplit de leur lumière qui m’émeut. Est-ce leur énergie propre, leur vibration dans le soleil ? Ou bien celle de Praline, la chienne qui dort à leur pieds, compagne de travail extraordinaire durant de longues (…)
Cela faisait maintenant presque 10 ans que j’avais eu mon premier cours d’ostéopathie. Pendant 7 ans, je m’étais interrogé, entraîné. J’avais persévéré, j’avais constaté les résultats. Alors trois ans auparavant j’avais décidé qu’un jour je ferai surtout cela, voir ne ferai que cela. Plébiscité par les clients, globalement renié par mon corps d’origine, la vétérinaire, je savais mon but, mais il a fallu tout ce temps pour pouvoir matériellement sauter le pas. Et ce soir là, nous étions à (…)
Cette lettre reçue d’un confrère qui travaille dans un monde parallèle au notre ... Toute ressemblance avec des évènements ou des personnages ayant existé serait fortuite ou bien ....
Diplômé vétérinaire de l’école de Toulouse en 2005, je me suis très vite lancé dans l’ostéopathie qui me plaisait énormément comme façon de soigner. Je me suis installé en 2010 en clientèle mixte dans la montagne noire exerçant alternativement la médecine classique et l’ostéopathie. Je n’avais jamais réussi (…)
Fernand est mon grand-père … Il est mort d’une crise cardiaque 4 ans, quatre, avant que je naisse. Pourtant à 44 ans, quarante quatre, j’ai compris qu’un événement majeur de sa vie émotionnelle avait servi de trame à ma vie sans que je ne m’en rende compte jusque-là.
Il est dit dans certains milieux que des portions de la vie des ancêtres pourraient s’engrammer dans notre corps et, tels des sous-programmes comportementaux, se mettraient en route dans certaines circonstances déterminées. (…)
Elle était là, toute ridée, toute sèche et une petite voix, si ténue et pourtant si ferme. Elle posa la cage à chat sur la table, la laissant tomber du haut de ses bras menus, mués en grue pour l’occasion. Et, elle déclara. Elle avait cet accent créole qu’il me fallait maintenant apprivoiser si je voulais m’adapter à “Karukéra”, l’autre nom de la Guadeloupe.
Elle déclara donc :
– Mon chat a le diabète.
– Mais, il est déjà suivi ? Une prise de sang a été faite ?
– non ... Répondit-elle. (…)
Lecteur, quand tu liras ces lignes, dis-toi que ce sont des histoires vraies.
Pourtant, lues avec les lunettes occidentales d’interprétation de la réalité, c’est-à-dire celles d’un modèle matérialiste, ces histoires sont des histoires extraordinaires, comme jadis l’étaient celles d’Edgar Alan, toute comparaison gardée évidemment.
A ce titre, elles ne peuvent qu’être issues d’un cerveau qu’on dira créatif pour être gentil. Un cerveau littéraire qui s’amuse à déformer la réalité ou bien (…)
Viande ou pas viande ? Lait ou pas lait ? Nous disent les végans. Perso, je n’en fait pas une opposition de principe (eux si ?). Les filières de l’avocat, de la cajou, ont du sang sur les mains .... Et des écocides ultramarins sur le paltau ... Donc vive le local en bio, circuit court, d’artisans agriculteurs en végétal ou animal.... Pourtant, ils ont raison, la plus grande partie de l’élevage est devenu une grosse bouse qui pue .... Et faire de l’ostéo en urgence sur une vache couchée qui (…)
Le titre est une invite à répondre à une question que vous ne vous êtes peut être pas posée ...
Et pourtant le mot globalité est censé occuper une grande place dans notre "raisonnement" de soignant en ostéopathie. Mais il y a une acceptation courte : le symptôme douloureux qui, amène le patient Homme ou Animal à consulter n’est que la partie émergée d’un iceberg où la vraie tension anatomique est ailleurs dans son corps.
Nos cours nous ont bien préparé à cette version courte et la (…)
2012-2025 © Patrick CHENE, ostéopathe. - Tous droits réservés
Ce site est géré sous
SPIP 4.4.3
et utilise le squelette
EVA-Web 4.2
Dernière mise à jour : jeudi 17 avril 2025